Aujourd’hui, on a visité chez Lues, une ferme de la vanille, à laquelle on a appris le processus pour la cultivation de la vanille.
Entourés de l’odeur
plaisante de la vanille, notre guide qui s’appelle Lues nous a expliqués la
technique entière pour pousser la vanille, y compris la plantation, la pollinisation
et la récolte. Avant notre visite, je ne connais pas qu’il y a une culture de
la production de la vanille à Lifou. Donc, j’ai demandé à Lues s’il existe
localement une grande demande pour la vanille. Il m’a répondu :
« (A Nouvelle-Calédonie), les gens sont plus intéressés au nickel que la vanille. »
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Notre guide enthousiaste, Lues. |
Cette citation était sombre pour moi, parce qu’elle m’a rappelé à l’intérêt historique de la France pour la Nouvelle-Calédonie comme une territoire coloniale. Discuté par Lucie Delaporte dans cet article (Texte 09 de Perusall), à part son offre d’une espace pour les criminels, la France a demandé aussi:
« (Est-ce que) l’archipel calédonien pouvait-il offrir plus ? … Le potentiel des ressources naturelles. »
Mais en fait, l’histoire
longue du nickel en Nouvelle-Calédonie n’est pas seulement une histoire de l’exploitation
coloniale. En réalité, comme le premier revenu de la Nouvelle-Calédonie, l’industrie
du nickel est longtemps une source du travail et des occasions pour les gens néo-calédoniens.
Comme en témoigne les profils de Huguette et Chantal dans cet article de 2017,
deux jeunes kanaks qui travaillent à la mine de nickel du Cap Bocage. Incroyablement,
même le père de Lues (un homme d’âge mûr) est allé à la grand-terre pour travailler
dans les mines de nickel.
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