Notre visite au centre culturel Tjibaou a incarné notre première interaction avec la culture, l’histoire et les traditions kanaks.
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La case à côté de l’entrée |
A part simplement
les expositions, le centre nous a offert l’occasion d’engager au moyen de son
marché des femmes rurales. Un évènement mensuel, le marché des femmes rurales accueillis
des agricultrices qui vendent des produits, des souvenirs traditionnelles et
plus. Malgré son endroit à Nouméa, ce marché sert à souligner des aspects de
vie rurale, des loisirs, tel que le tressage, à la cuisine, tel que le cerf. A
travers notre séjour imminent à Lifou, j’espère de comprendre plus approfondi
les différences entre la mode de vie rurale et la mode de vie urbaine pour les
Kanaks.
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Les marchandises tissées |
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Les saucissons de cerf |
Bien que j’aie
profité beaucoup du marché, c’était trois œuvres d’art parmi les expositions du
centre qui m’intriguait particulièrement. Ce sont :
« Les Vieux
| Saveurs de paix »
Illustrant les gens éminents du débat (du côté séparatiste ce sont
Jean-Marie Tjibaou soi-même ainsi que Yeiwéné Yeiwéné, et du côté loyaliste
c’est Jacques LaFleur), cette œuvre et son titre m’ont suggéré qu’il existe un
sens de calme et de caractère définitif autour de la situation.
Cependant, grâce à cet article de Joseph Confraveux (Texte 02 de Perusall),
je reconnais maintenant que la situation est loin de fini. En plus, je
reconnais maintenant grâce à l’article que bien que les gens représentés aient
peut-être « (sauvé) de paix », cette paix n’est pas exactement
agréable pour tout – et donc, le débat continue. À côté des quelques
séparatistes comme Darewa Dianou (le fils d’Alphonse Dianou qui a mené la prise
d’otages à Ouvéa en 1988), c’est aussi la question importante, est-ce que cette
paix suffit ?
« Inconnu »
Malheureusement, je n’ai pas noté le nom ou le créateur de cet œuvre. Néanmoins, c’est l’imagerie qui m’est semblé être à notable. En particulier, l’image en bas à gauche d’un homme kanak pêche dans une fontaine à eau.
Pour moi, cette
image a fait penser à la collision entre la mode de vie kanak, un peuple dont
les traditions sont liées fortement à la terre, et un monde qui est changeant,
globalisé et de plus en plus, urbaine.
« Aide-Mémoire »
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Un gros plan d'un sac |
La signifiance de
ces sacs tissés a été augmentée pour moi, étant donné on était venu de regarder
des marchandises tissées au marché des femmes rurales. La manière dans laquelle
les sacs tissés montrent des images de l’histoire Kanak était ainsi très puissante,
me suggérant que la douleur du colonialisme persiste de même façon que la
tradition du tressage.
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