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Showing posts from November, 2019

Une conversation instructives dans le bus

En train d’aller à Port Moselle en bus après un jour à CREIPAC, j’ai engagé la conversation avec Pierre-Jo ë l, un jeune homme kanak. Le plan du réseau. Après avoir échanger des banalités, y compris les questions génériques au sujet des kangourous et des autres animaux australiens, on a partagé une conversation intéressante au sujet de la Brousse contre la ville. J’ai mentionné qu’on va aller à Bourail demain pour engager avec une mode de vie plus rurale, et pour faires des activités comme la randonnée et le camping, par exemple. Il a dit qu’il est très « jaloux », puisqu’il vient de la brousse mais maintenant il habite et travail ici à Nouméa. Je lui ai demandé d’expliquer pourquoi est-ce qu’il préfère la Brousse. Il m’a dit que : « C’est mieux là-bas. Ici, il y a trop de circulation, trop de bruit et trop de petits gangsters. A Brousse, c’est plus tranquil. » Malgré leur qualité intéressante, ces sentiments ne sont pas nouveaux pour moi. E...

L'Ordre et La Morale: Trois points à retenir de mon visionnage

Cet après-midi, on a regardé « L’Ordre et La Morale », un film de Mathieu Kassovitz de 2011 au sujet des évènements d’Ouvéa en avril 1988, dans lesquels un groupe d’indépendantistes kanaks a attaqué une gendarmerie et a pris en otages trente gendarmes dans la grotte de Gosannah. L'affiche du film, L'Ordre et La Morale.  Kassovitz est à la fois le réalisateur et la vedette, jouant Phillip Legorjus, le vrai capitaine et un négociateur du GIGN. Le film représente la violence de l’attaque initiale et la résolution sanglante, ainsi que les efforts de négocier, sur fond de conflit parmi l’armée française et les présidentielles en France entre François Mitterrand et Jacques Chirac. C’est bien sûr une situation compliquée à Ouvéa, également la réception du film en Nouvelle-Calédonie et en France est compliquée aussi. Pas seulement est-ce que ces complexités sont à cause du malaise chez beaucoup de Néo-Calédoniens en ce qui concerne Ouvéa, mais aussi puisque l’histoir...

Un retour au centre culturel Tjibaou

Contrairement à notre première visite à centre culturel Tjibaou , notre retour était à l’aide d’une guide qui nous a conduit autour du « chemin kanak ». Cette deuxième visite m’a familiarisé mieux avec « la coutume » mais également, elle a provoqué des pensées en ce qui concerne le tourisme culturel.  On a participé dans une visite guidée avec des autres touristes au chemin kanak, un petit chemin au milieu du jardin qui entoure le centre culturel Tjibaou. Pendant notre visite, la guide nous a expliqués beaucoup d’aspects de la culture et la coutume kanak, du mythe fondateur, aux cérémonies, aux chansons, aux danses et plus. En plus de la guide, il y avait aussi un petit groupe de joueurs de rôle, qui a joué ces aspects susmentionnés de la mode de vie traditionnelle.  Une carte du centre culturel Tjibaou et le chemin kanak Quelque chose qui m’intéresse c’est le lien entre les traditions kanak et la nature. A travers tout cette promenade, il y...

Une visite au centre culturel Tjibaou

Notre visite au centre culturel Tjibaou a incarné notre première interaction avec la culture, l’histoire et les traditions kanaks. La case à côté de l’entrée  A part simplement les expositions, le centre nous a offert l’occasion d’engager au moyen de son marché des femmes rurales. Un évènement mensuel, le marché des femmes rurales accueillis des agricultrices qui vendent des produits, des souvenirs traditionnelles et plus. Malgré son endroit à Nouméa, ce marché sert à souligner des aspects de vie rurale, des loisirs, tel que le tressage, à la cuisine, tel que le cerf. A travers notre séjour imminent à Lifou, j’espère de comprendre plus approfondi les différences entre la mode de vie rurale et la mode de vie urbaine pour les Kanaks.  Les marchandises tissées  Les saucissons de cerf Bien que j’aie profité beaucoup du marché, c’était trois œuvres d’art parmi les expositions du centre qui m’intriguait particulièrement. Ce sont : « Les ...

Flash Info!

Est-ce que le journal dit quelque chose au sujet du lien entre la Nouvelle-Calédonie et la France ? France 2, la chaîne qu’on regardais pendant notre premier dîner. Le premier dîner avec ma famille d’accueil, j’étais extrêmement conscient de mon comportement à table ainsi que mon utilisation française. Etant donné ces préoccupations, c’était une merveille que j’ai remarqué la télé à l’arrière-plan, sur laquelle le journal télévision de première partie de soirée était diffusé. Etonnamment, le journal ne montrait pas les actualités de la Nouvelle-Calédonie, en fait l’article de fond gravitait autour des inondations dans le sud de France. Initialement, j’étais surpris de trouver ce journal de la métropole sur la télé néo-calédonienne. Je me suis demandé, « pourquoi est-ce que le peuple de la Nouvelle-Calédonie est si intéressé aux affaires de l’Hexagone sur l’autre côté du monde ? ». Bien-sûr les Néo-Calédoniens sont les citoyennes françaises, mai...

Au Pain D’Antan : Un petit déjeuner qui invite à réfléchir

« Je voudrais une baguette, un pain au chocolat, ainsi que des illuminations culturelles ». Au Pain d'Antan, une boulangerie à Noumea Notre premier matin en Nouvelle-Calédonie, on cherche quelque chose de manger pour le petit déjeuner. Pour moi, pour éviter les prix élevés d’Anse Vata, c’était simplement une baguette et un pain au chocolat. Comme c’est français, non ?   Ajouter un café et une clop et voilà, on a un petit déjeuner stéréotypique de la France. Plus que juste un stéréotype, cette expérience à la boulangerie, qui s’appelle « Au Pain D’Antan », déclenche des idées intéressantes pour moi, au sujet du lien entre la Nouvelle-Calédonie et la France. Permettez-moi d’expliquer… A la boulangerie, il y avait un vieil homme blanc qui a été à là-derrière du comptoir. Avec un vrai charme, l'homme a servi les clients en souriant, même démontrant la patience incroyable quand une touriste australienne lui a demandé un « flat white ». Mais...

Regardez de chaque côté avant de traverser la rue!

Quelquefois jolies (voir l’image au-dessous) et quelquefois dangereuses (pour moi au moins), les routes de la Nouvelle-Calédonie racontent une petite histoire du colonialisme. La rue devant l'Université de la Nouvelle-Calédonie. Bien sûr, la raison pour laquelle on est ici en Nouvelle-Calédonie c’est l’investigation de son histoire coloniale et ses épreuves continuées. Ceci dit, à notre arrivée à Nouméa, j’ai concentré toute mon attention sur les indications du colonialisme. Maintenant, je ne suis pas sûr de ce que j’ai trouvé… la propagande loyaliste ? L’activisme séparatiste ? N’importe signe d’un grand fossé national. En fait, peut-être je les ai regardés avec trop véhémence, parce qu’il y avait trois occasions sur lesquelles j’ai été presque frapper par des voitures. Plutôt qu’étant causés par cette cherche des indications coloniales, ces incidents ont été provoquer par une différence simple… Ici en Nouvelle-Calédonie, ils conduisent sur le côté droit de ...

À Propos

Je m’appelle Nicolas Zappia. Après avoir fait une pause dans mes études françaises à l’université, je les recommence avec un voyage d’étude à la Nouvelle-Calédonie. Bien que la blogosphère soit un nouveau territoire pour moi, les voyages ne sont pas. Par exemple, l’année dernière j’ai voyagé avec des amis autour de l’Europe, explorant la France, l’Italie, la Croatie et plus. Tandis que l’éclaircissement culturelle était évidemment notre priorité absolue pendant ce voyage récent, on était en détourné par la bière, les boîtes et les amourettes. Sans aucun doute, ce voyage d’étude sera assez différent – avec sa grande attention sur les cicatrices néo-calédoniennes du colonialisme français. Quant à la Nouvelle-Calédonie elle-même, je ne connais pas trop pour être honnête. Également, ma compréhension du colonialisme français est limitée aussi, avec la plupart de ma connaissance fondée sur le contexte algérien. Ma familiarité avec les circonstances d’Algérie était approfondie pa...